Chroniques élections municipales

©Je vous propose une "modeste" chronique concernant les élections municipales en France qui ont lieu les 15 et 22 mars. Le dépôt des listes a eu lieu le jeudi 27 février à 18 h au plus tard auprès des services préfectoraux.
Ce récit relate cet évènement à Mauriac ,15.petite ville de 3600 ha. Chiffre  qui oblige à présenter des listes paritaires de 27 candidats  c'est beaucoup trop pour permettre la constitution de plusieurs listes dans cette petite ville. Nous sommes donc face à une anomalie démocratique avec un vote à la proportionnelle qui voit des individus élus détestés par la population , il faut être dans les 5 ^premiers de liste pour être élus !!!
Le journal local nous indique ce samedi matin "Deux listes apolitiques et ouvertes vont s'opposer à Mauriac" !!!
Cela est manifestement de la désinformation;
1) liste Claudine Royer , liste conduite par une personne membre du bureau fédéral du parti socialiste financé à auteur de 6000 euros ( dixit des indiscrétions crédibles ?) , comment peut on être apolitique dans ces conditions a-t-on honte du Parti Socialiste ou veut -on tromper l'électeur!!
Cette tête de liste qui prétend avoir joué un rôle d'opposition lors du mandat précédent , à servi de faire valoir démocratique à la majorité précédente par son approbation quasi systématique des délibérations et des budgets proposés.
2) liste Edwige Zanchi  médecin en retraite dès le 1ier mars 20 , aucune expérience politique
a pu facilement constituer une liste à partir de sa clientèle !!
Probablement manipulé par le président du conseil départemental , nous attendons avec curiosité les propositions , un risque majeur si cette liste est élu, l'intercommunalité du Pays de Mauriac court un risque  majeur d'absorption par l'interco du Pays de Salers cela a la grande satisfaction des pouvoirs publics et du président du conseil départemental.

Chaque jour je vais essayer de vous relater les épisodes de cette campagne municipale !!!

Cela me remet en mémoire un vieux slogan " élections piège à C.. "
Demain je vous décrirait la situation catastrophique de notre commune.