jeudi 10 novembre 2016

Version Espagnole. Heridas............

Auriel  Albert
El 4 de noviembre de 2016
Heridas frente a la perversidad humana.
Para mejorar y vivir nuestro "humanismo ".
La Antispécisme : corriente filosófica de los fundadores de la Asociación-214; afirma que la especie a la que pertenece a un ser no es un criterio pertinente para determinar la forma en que se trata y los derechos que se debe concederle. En oposición al spécisme que coloca a la especie humana antes de todas las demás. La antispécisme establece una igualdad entre ellas.     

En 1739, David Hume señaló que "los caballos son talento de pensamiento y de razón, al igual que los hombres". Hecha mucho antes de Darwin, la observación del filósofo escocés ha puesto de tiempo a tomarse en serio.
Nuestro derecho republicano (el Código rural) acaba de  reconocer  los animales como seres sensibles.
Nada justifica la barbarie, la violencia, la inhumanidad de nuestros comportamientos vis-à-vis el mundo animal. La perversidad no parece tener límite. 
Una gran parte de la juventud es muy sensible a esta problemática.
El Movimiento es internacional; los países de Europa del norte son de gran sensibilidad al "bienestar animal".
La sociedad, no puede pasar por alto a este problema de lucha contra la violencia; el respeto de la vida, de la sensibilidad animal; debe imperativamente  reflexionar, tomar posición sobre estos temas.
Mejorar nuestro comportamiento vis-à-vis el mundo animal será una contribución para reducir la violencia en todas sus formas y mejorar la condición humana; profundizar el concepto de humanismo  redefinir el compromiso humanista de muchos ciudadanos.
Estos problemas  deben abordarse con seriedad , sobre todo en un momento o la barbarie de nuestros "mataderos" son los medios de comunicación y las redes sociales; los poderes públicos siguen siendo indiferentes ( una comisión parlamentaria emitió , recientemente un informe , sin efectos) como lo demuestran las atrocidades de Limoges.

Los atroces vídeo difundido por la124; recuperación de los medios de comunicación; no pueden dejarnos insensible y hacer como si esto era un mal necesario.

Debemos actuar  si estamos en un camino llamado " la mejora de la humanidad".
Cada uno de nosotros debe sentirse afectado, al menos estamos interpelados por nuestra relación con la sensibilidad animal, al hecho concreto que cada día miles de animales domésticos (que nos han depositado su confianza) se encuentran en los pasillos de la muerte y el sienten.  
Mis palabras no tienen por objeto ocultar los dramas humanos vividos cada día, la violencia sufre por los animales es una falta de respeto para la humanidad y el mundo que viven.
Debemos explorar nuevos campos de reflexión sobre nuestras prácticas y nuestra relación con el mundo animal.  
Vemos emerger en los medios de comunicación un nuevo concepto ; la antispécisme; debemos ampliar nuestra visión del humanismo (nuestra prioridad sigue siendo una mejora general de la condición humana) Eso pasa por la toma en cuenta la condición animal. 
El libro de Frans de Waal " ¿Somos demasiado "ganado" para comprender la inteligencia de los animales? Edición de  "los vínculos que liberan"   aporta una contribución decisiva en la inteligencia animal ; alude a la conciencia animal; en 2012 un grupo de científicos publicó "la declaración de Cambridge sobre la conciencia ", que proclamaba que los animales no humanos son seres conscientes.
En su libro, Frans de Waal se hace por otra parte el historiador pedagogo de su disciplina y el defensor de lo que se denomina "cognitivas evolutiva". Corresponde, en particular sobre el papel pionero de algunos defensores de la inteligencia animal (de Jakob von Uexküll a Konrad Lorenz) que durante mucho tiempo navegado a contracorriente de la biología dominante. El primatologue invita a los científicos- y todos los hombres en general, para medir la inteligencia de los animales sin basarse en criterios exclusivamente humanos. Cada especie evoluciona en el seno de una ecología específico, de un entorno que prescriban las necesidades especiales: los desafíos cognitivos del delfín no son simplemente  los mismos que los de la ardilla, del cordero, de corbeau o guêpes… Al igual que los historiadores huyen del pecado de anacronismo, el Etnólogo y primatologue tratan de evitar el anthropocentrisme. Ya que aprender a mirar el mundo con el punto de vista de los animales tiene sin duda la inteligencia de nuestra propia especie.
No podemos permanecer indiferentes ante estas atrocidades; debemos  apoderarse de este tema y responder a las atrocidades de Limoges y la desaparición de muchas especies de vertebrados en el siglo pasado. 

Respetar los animales, no admitir el sufrimiento, es  el comienzo de un enfoque respetuoso de cada ser humano.

mardi 8 novembre 2016

Blessures face à la perversité Humaine


Auriel  Albert

Le 4 novembre 2016



Pour  améliorer  et vivre  notre  »  Humanisme ».

L’Antispécisme : courant philosophique des fondateurs de l’association L-214 ; affirme que l’espèce à laquelle appartient un être n’est pas un critère pertinent pour décider de la manière dont on le traite et les droits qu’on doit lui accorder. En opposition au spécisme qui place l’espèce humaine avant toutes les autres. L’antispécisme  établi une égalité entre elles.    



En 1739, David Hume constatait que «les bêtes sont douées de pensée et de raison, tout comme les hommes». Formulée bien avant Darwin, cette observation du philosophe écossais a mis du temps à être prise au sérieux.

Notre droit républicain (le code rural)  vient de  reconnaître  les animaux comme des êtres sensibles.

Rien ne justifie  la barbarie, la violence, l’inhumanité de nos comportements vis-à-vis du monde animal. La perversité ne  semble pas avoir de limite .

Une grande partie de la jeunesse est très sensible à cette problématique.

Le mouvement est international ; les pays d’Europe du nord  sont d’une grande sensibilité au « bien être animal ».

La société  , ne peut passer à côté de ce problème de lutte contre la violence ; de respect  du vivant, de la sensibilité animale ; elle doit impérativement  réfléchir, prendre position  sur ces questions.

Améliorer notre comportement vis-à-vis du monde animal sera une contribution  pour  faire diminuer la violence sur toutes ses formes et améliorer la condition humaine ; approfondir la notion d’humanisme  refonder l’engagement humaniste de nombreux citoyens.

Ces problèmes  doivent  être abordé avec sérieux , surtout à un moment  ou la barbarie  de nos « abattoirs »  fait la une des médias et des réseaux sociaux; les pouvoirs publics  restent indifférents ( une commission parlementaire  a rendu , récemment un rapport , sans effets )  comme le montre les atrocités de Limoges .



Les atroces  vidéos diffusé par L124 ; reprise par les médias ; ne peuvent nous laisser insensible  et faire comme si cela était un mal nécessaire.



Nous devons agir  si nous sommes dans un chemin ‘ » de l’amélioration de l’humanité ».

Chacun d’entre nous doit se sentir concerné, au minimum nous sommes interpellés par notre rapport à la sensibilité animale, au fait concret que chaque jours des milliers d’animaux domestiques (qui nous ont fait confiance) sont dans des couloirs de la mort et le ressentent. 

Mes  propos n’ont pas pour but de masquer les drames humains vécus chaque jour, la violence subit par les animaux est une absence de respect  pour  l’humanité et le monde vivant.

Nous devons explorer de nouveaux champs de réflexion concernant nos pratiques et notre rapport au monde animal.  

Nous voyons émerger dans les médias un nouveau concept ; l’antispécisme ; nous devons élargir notre vision de l’humanisme (notre priorité reste une amélioration générale de la condition humaine) cela passe par la prise en compte de la condition animale.

Le livre de Frans de Waal  «  Sommes nous trop « bêtes » pour comprendre l’intelligence des animaux ?  édition  «  les liens  qui libèrent «   apporte une contribution décisive sur l’intelligence animale ; il aborde la conscience animale ; en 2012 un groupe d’éminents  scientifiques a publié «  la déclaration de Cambridge sur la conscience », elle proclamait que les animaux non humains sont des êtres conscients.

Dans son livre, Frans de Waal se fait par ailleurs l’historien pédagogue de sa discipline et le défenseur de ce qu’il appelle la «cognition évolutive». Il revient notamment sur le rôle pionnier de certains défenseurs de l’intelligence animale (de Jakob von Uexküll à Konrad Lorenz) qui ont longtemps navigué à contre-courant de la biologie dominante. Le primatologue invite ainsi les scientifiques - et tous les hommes en général - à mesurer l’intelligence des animaux sans se fonder sur des critères exclusivement humains. Chaque espèce évolue au sein d’une écologie spécifique, d’un environnement qui dicte des besoins particuliers : les défis cognitifs du dauphin ne sont tout simplement pas  les mêmes que ceux de l’écureuil, du mouton, du corbeau ou des guêpes… Tout comme les historiens fuient le péché d’anachronisme, l’ethnologue et le primatologue cherchent à éviter celui de l’anthropocentrisme. Car apprendre à regarder le monde avec le point de vue des animaux éprouve sans doute l’intelligence de notre propre espèce.

Nous ne  pouvons rester indifférents face à ces atrocités ; nous  devons s’emparer de cette question et réagir aux atrocités  de Limoges et  à la disparition de nombreuses espèces de vertébrés  au siècle dernier.

Respecter  les animaux, ne pas admettre la souffrance, c’est  le début d’une démarche respectueuse de chaque  être humain.


mercredi 2 novembre 2016

Jeune chat au soleil


j'ai 3 mois , je suis né le 12 Aout 16.
Exceptionnel , ce beau soleil  ; un 2 novembre 2016