samedi 31 juillet 2021

St Ignace de Loyola

 Au milieu du XVIe siècle, les jésuites, qui venaient d’être fondés à Rome par Ignace de Loyola, ont été à l’origine du modèle éducatif de l’enseignement secondaire tel qu’il fonctionne aujourd’hui encore en France et dans la plupart des pays du monde.


jeudi 15 juillet 2021

St Donald Surprenant !!!

 

Saint Donald

Abbé à Ogilvy, en Ecosse (VIIe siècle)

Il naquit, vécut et mourut en Ecosse. Avant de mourir, sa femme lui avait recommandé de veiller sur leurs neuf filles.
Quand elle mourut, les neuf filles décidèrent de se faire religieuses et saint Donald transforma sa maison en un couvent dont il devint le supérieur. On vit rarement, selon la tradition, une maison aussi fervente et un supérieur aussi bien soigné jusqu'à ses vieux jours.

cf:Nominis

mercredi 14 juillet 2021

Fête Nationale Prise de la Bastille . Monument aux morts de Mauriac

Monument aux morts de Mauriac (15200)
6 gerbes déposées ce 14 juillet

Ce monument aux morts érigé en 1923
mérite notre respect , il rend hommage aux morts de la guerre de 14-18 nous devons 
garder en mémoire au cœur de notre ville ce symbole .
Dans le cadre d'un projet de réaménagement de la place centrale ( il faut bien dépenser l'argent du citoyens , contribuables) de notre petite ville ;
La municipalité actuelle va-t-elle respecter ?? notre histoire ou  "déménager" ce monument 
symbole de notre identité.


 

dimanche 11 juillet 2021

St Benoit Manœuvres politiciennes ou débat d'idées ??

 L’Élysée compte sur Éric Zemmour pour affaiblir à la fois Marine Le Pen et le candidat LR à la prochaine présidentielle, rapporte Le Point. Selon le magazine, le «conseiller mémoire» d’Emmanuel Macron Bruno Roger-Petit est «spécialement chargé de suivre l’évolution de cette candidature».

mardi 6 juillet 2021

Rte Mariette Emile Zola Respect des animaux

 L’amour des bêtes

Pourquoi la rencontre d'un chien perdu, dans une de nos rues tumultueuses, me donne-t-elle une secousse au cœur ?
Pourquoi la vue de cette bête, allant et venant, flairant le monde, effarée, visiblement désespérée de ne pas retrouver son maître, me cause-t-elle une pitié si pleine d'angoisse, qu'une telle rencontre me gâte absolument une promenade ?
Pourquoi, jusqu'au soir, jusqu'au lendemain, le souvenir de ce chien perdu me hante-t-il d'une sorte de désespérance, me revient-il sans cesse en un élancement de fraternelle compassion, dans le souci de savoir ce qu'il fait, où il est, si on l'a recueilli, s'il mange, s'il n'est pas à grelotter au coin de quelque borne ?
Pourquoi ai-je ainsi, au fond de ma mémoire, de grandes tristesses qui s'y réveillent parfois, des chiens sans maîtres, rencontrés il y a dix ans, il y a vingt ans, et qui sont restés en moi comme la souffrance même du pauvre être qui ne peut parler et que son travail, dans nos villes, ne peut nourrir?
Pourquoi la souffrance d'une bête me bouleverse-t-elle ainsi? Pourquoi ne puis-je supporter l'idée qu'une bête souffre, au point de me relever la nuit, l'hiver, pour m'assurer que mon chat a bien sa tasse d'eau ? Pourquoi toutes les bêtes de la création sont-elles mes petites parentes, pourquoi leur idée seule m'emplit-elle de miséricorde, de tolérance et de tendresse?
Pourquoi les bêtes sont-elles toutes de ma famille, comme les hommes, autant que les hommes ?
Émile Zola, Le Figaro, 24 mars 1896.

Why does the meeting of a lost dog, in one of our tumultuous streets, give me a shock in the heart?
Why does the sight f this beast, coming and going, sniffing out the world, bewildered, visibly desperate not to find its master, cause me a pity so full of anguish, that such a meeting absolutely spoils my walk? ?
Why, until the evening, until the next day, does the memory of this lost dog haunt me with a sort of despair, does it come back to me incessantly in a burst of fraternal compassion, for the sake of knowing what What is he doing, where he is, if he has been picked up, if he eats, if he is not shivering at the corner of some terminal?
Why do I have, at the bottom of my memory, great sadnesses which sometimes wake up there, dogs without masters, encountered ten years ago, twenty years ago, and which have remained in me like suffering itself? of the poor being who cannot speak and whom his work, in our cities, cannot nourish?
Why does the suffering of an animal so upset me? Why can't I bear the idea that an animal is suffering, to the point of getting up at night, in winter, to make sure my cat has its cup of water? Why are all the beasts of creation my little relatives, why does their idea alone fill me with mercy, tolerance and tenderness?Why does the meeting of a lost dog, in one of our tumultuous streets, give me a shock in the heart?
Why does the sight of this beast, coming and going, sniffing out the world, bewildered, visibly desperate not to find its master, cause me a pity so full of anguish, that such a meeting absolutely spoils my walk? ?
Why, until the evening, until the next day, does the memory of this lost dog haunt me with a sort of despair, does it come back to me incessantly in a burst of fraternal compassion, for the sake of knowing what What is he doing, where he is, if he has been picked up, if he eats, if he is not shivering at the corner of some terminal?
Why do I have, at the bottom of my memory, great sadnesses which sometimes wake up there, dogs without masters, encountered ten years ago, twenty years ago, and which have remained in me like suffering itself? of the poor being who cannot speak and whom his work, in our cities, cannot nourish?
Why does the suffering of an animal so upset me? Why can't I bear the idea that an animal is suffering, to the point of getting up at night, in winter, to make sure my cat has its cup of water? Why are all the beasts of creation my little relatives, why does their idea alone fill me with mercy, tolerance and tenderness?
Why are all animals of my family, like men, as much as men?
Émile Zola, Le Figaro, March 24, 1896.
Why are all animals of my family, like men, as much as men? Émile Zola, Le Figaro, March 24, 1896.