Jeudi 1 mars à la matinale de France inter , le président Sarkozy a particulièrement réussi son émission en milieu hostile ( l'attitude des journalistes de cette radio payée par le contribuable, ont une attitude vraiment trop favorable à des concepts d'une gôche passéiste).
Mais même s'il peut développer des thèmes dynamisants, son bilan le conduit à l'échec.
Augmentation constante de la fiscalité ( 18 taxes supplémentaires durant son mandat) , 500 milliards de dette supplémentaires, pas de réelles réformes concernant l'administration , pas de modification en profondeur du statut de la fonction publique ( de plus en plus corporatiste), pas de libéralisation de l'activité économique.
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