J'adresse à chacun , mes Vœux de Bonheur et de prospérité , pour cette année 2014
mardi 31 décembre 2013
mardi 24 décembre 2013
jeudi 5 décembre 2013
A voir
A moins de 500 mètres du site historique de Montferrand ( 63 Puy de Dôme). Le siège du Conseil Régional d'Auvergne.. Quel est l'avis de l'architecte des bâtiments de France, tellement pointilleux vis à vis de projets d'aménagements privés.
La note est salée pour les contribuables, pour ce chef d'œuvre architectural.
La note est salée pour les contribuables, pour ce chef d'œuvre architectural.
lundi 11 novembre 2013
Eté indien
en Auvergne (France). Un véritable été indien , la couleur des chênes, des hêtres est fantastique.
lundi 21 octobre 2013
dimanche 20 octobre 2013
Respect des enfants
Nous vivons en plein délire , au sujet d'une expulsion .
Ce sujet anecdotique amène à s'interroger sur le sort des enfants; que fait l'administration pour donner une existence légale à un enfant de parents Français qui est né en Espagne ( dont la clinique Espagnole n'a pas fait les "bons" papiers ; ( n'y a -t-il pas violence)
Que fait on pour donner une existence légale aux enfants nés de mères porteuses.
Ce sujet anecdotique amène à s'interroger sur le sort des enfants; que fait l'administration pour donner une existence légale à un enfant de parents Français qui est né en Espagne ( dont la clinique Espagnole n'a pas fait les "bons" papiers ; ( n'y a -t-il pas violence)
Que fait on pour donner une existence légale aux enfants nés de mères porteuses.
lundi 7 octobre 2013
STAGES
Je viens d'écouter les infos ( rémunération des stages, projet de prise en compte pour la retraite)
première observation ceux sont des étudiants qui sont en stage, pas des salariés.
Combien de stagiaires j'ai accepté ? par complaisance; pour permettre à ces jeunes de valider l'année d'étude que ces jeunes venaient d'effectuer. ( C'est avec satisfaction que j'ai fait tout cela).
Tout cela est pétri de bon sentiment , et de démagogie.
Cela va à l'encontre des intérêts des jeunes travailleurs , notamment les apprentis .
première observation ceux sont des étudiants qui sont en stage, pas des salariés.
Combien de stagiaires j'ai accepté ? par complaisance; pour permettre à ces jeunes de valider l'année d'étude que ces jeunes venaient d'effectuer. ( C'est avec satisfaction que j'ai fait tout cela).
Tout cela est pétri de bon sentiment , et de démagogie.
Cela va à l'encontre des intérêts des jeunes travailleurs , notamment les apprentis .
jeudi 22 août 2013
mardi 20 août 2013
En panne définitevement!
Incroyable une ville située dans un écrin de verdure, du massif central; laisse à l'abandon
durant tout le mois d'août son aire de service des campings cars.
dimanche 4 août 2013
samedi 20 juillet 2013
Félicitations
BERTRAND
SCHWARTZ ELEVE A LA DIGNITE DE GRAND'CROIX
A l’occasion de la promotion du
29 mars, Bertrand SCHWARTZ a été élevé à la dignité de grand’croix, la plus
haute distinction de l’Ordre national de la Légion d’honneur notamment pour
honorer son action éminente en faveur de l’insertion professionnelle et sociale
des jeunes .
Son rapport en 1981, sur l'insertion des jeunes a conduit à l'ordonnance du 27 Avril 1982 avec pour conséquence la création des missions locales à titre expérimental; son projet était -il d'aboutir à la structuration technocratique de ce réseau ???
lundi 8 juillet 2013
samedi 22 juin 2013
dimanche 16 juin 2013
A Relire, c'est très actuel
Joseph de
Maistre (1753-1821)
Joseph
de Maistre est né à Chambéry le 1ier
Avril 1753, il est mort à Turin le 26 Février 1821.
I l
est un très important philosophe contre révolutionnaire ; membre éminent
de Franc Maçonnerie (durant 40 ans) avec une inclinaison vers l’ésotérisme.
Il
développe une pensée politique ou le corps politique prime l’individu.
L’individu
est un facteur qui divise là ou le pouvoir et l’autorité unifient. Dans le
monde actuel ses écrits sont toujours
d’actualité. Il va à l’encontre du libéralisme
et de la primauté de l’individu, de la liberté de conscience ; de
la liberté de chacun qui est notre bien le plus Précieux.
Philippe Sollers dans « Eloge d’un
maudit » fait part de son
admiration pour cet auteur.
Joseph de Maistre, a contesté les principes de
la révolution (il critique la thèse du complot maçonnique) c’est le
renversement d’opinions dominantes
La vision de l’avenir de Maistre se conjugue avec les
aspirations des « Illuminés » du 18è siècle.
Contexte historique :
Lorsque survient en 1789 la Révolution française, la Savoie, en tant que pays étranger, n'est pas directement impliquée dans les événements qui bouleversent la France. Les savoisiens suivent cependant ces événements de très près au contact des milliers de réfugiés français qui traversent le pays et y séjournent avant de s'exiler en Suisse ou au Piémont. Pour sa part, Joseph de Maistre admet lucidement les fondements de la Révolution. Il semble acquis aux idées nouvelles, qui d'ailleurs obtiennent au début les faveurs et l'assentiment du roi Louis XVI lui-même ! Dans une intervention au souverain Sénat de Savoie, le sénateur de Maistre plaide pour que le peuple marche à grands pas vers l'égalité civile. Toutefois, il déplore les excès populaires et les désordres qui bouleversent la vie du pays voisin. Et ce n'est que lorsque les institutions monarchiques et religieuses de France sont menacées que se forgent ses idées contre-révolutionnaires et anti gallicanes.
Certains biographes, dont le peu complaisant Robert Triomphe, lui reprocheront ce qu'ils considèrent comme une volte-face : C'est sous-estimer la violence des événements de cette époque troublée que cet homme de qualité et au caractère bien trempé, fidèle à la dynastie de Savoie, n'a pas l'intention de subir passivement, surtout quand son pays est attaqué !
Joseph de Maistre va entrer en résistance lorsque son pays est envahi dans la nuit du 21 au 22 septembre 1792 par les armées révolutionnaires françaises.
Le 23 octobre les députés savoyards désignés par le peuple sous le contrôle de l'occupant se constituent en Assemblée Nationale des Allobroges, proclament la déchéance de la Maison de Savoie, la suppression des sept provinces et l'unité indivisible de l'Allobrogie. Le 27 novembre 1792, la Convention nationale décrète la réunion de la Savoie à la France dont elle formera le 84e département. Dès lors le peuple savoyard est intégralement soumis au régime révolutionnaire français. La constitution civile du clergé imposée à la Savoie, malgré l'engagement de la France de respecter le libre exercice du culte et l'indépendance des prêtres, entraîne l'exil et la déportation d'un grand nombre de prêtres savoyards insermentés, et parfois leur exécution. Le 23 mars 1793, Chambéry assiste à la liquidation, par les révolutionnaires français, du Souverain Sénat de Savoie: Joseph de Maistre fut le seul sénateur à manifester sa résistance au nouveau pouvoir en place. En avril 1793, Annecy devient le centre des manœuvres de la contre-révolution.
Joseph de Maistre se réfugie à Turin en 1792 dès l'invasion des troupes françaises. Dans l'hiver, il s'installe avec sa femme et leurs deux enfants, Adèle et Rodolphe, dans la cité d'Aoste, où il retrouve son frère Xavier et ses sœurs. Mais la Loi des Allobroges fait obligation aux réfugiés de revenir en Savoie sous peine de confiscation de leurs biens. De retour à Chambéry, les époux de Maistre refusent de prêter serment et subiront en tant qu'émigrés la mise en vente de leur maison de la place Saint-Léger, de leurs terres et de leurs vignes comme biens nationaux. Entre temps, le 27 janvier 1793, madame de Maistre met au monde une petite fille qui sera baptisée à Chambéry sous le prénom de Constance et sera confiée provisoirement à sa grand-mère maternelle, Anne de Morand, pour échapper à la vie mouvementée de ses parents qui repartent en exil. C'était sans compter avec le régime de la Terreur, confirmé par la Loi des suspects : la grand-mère, accusée d'avoir une fille émigrée, est mise en prison à Chambéry le 16 août 1793. Elle récupèrera sa petite-fille à sa libération et l'élèvera en Savoie comme sa propre fille.
La famille de Maistre se réfugie à Lausanne où elle réside pendant quatre ans. Joseph remplit diverses missions pour le compte de son souverain, en qualité de correspondant des bureaux du ministère des Affaires étrangères Sardes. Responsable d'un réseau de Renseignements en Suisse, il doit notamment aider au recrutement de ses compatriotes pour accroître l'effectif des résistants de l'intérieur. En 1794, il publie à Lausanne les Lettres d'un royaliste savoisien à ses compatriotes. En 1795, il publie un pamphlet intitulé : Lettre de Jean-Claude Têtu, maire de Montagnole, à ses concitoyens. Ce libelle contre-révolutionnaire est tiré à plusieurs milliers d'exemplaires et va être lu avidement en Savoie. Le Conseil général demande en vain à la République de Genève d'en saisir les nouvelles éditions. Joseph de Maistre séjourne à Lausanne jusqu'en 1797, année au cours de laquelle il rejoint le roi à Turin.
Le deuxième traité de Paris, confirmé par le congrès de Vienne, consacre la restitution de la totalité de la Savoie, du comté de Nice et du Piémont au roi de Sardaigne.
Nous devons
noter qu’il existe toujours un mouvement séparatiste Savoisien ; qui a eu un élu au conseil
régional Rhône Alpes en 2002.
Philosophie
politique :
Il oppose au
rationalisme du 18è siècle le sens commun, la
Foi ; les lois non écrites.
Le corps
politique (la nation ?) prime l’individu :
Pour Joseph
de Maistre, l’individu est une réalité seconde, par rapport à la société et
l’autorité.
La société
ne peut fondamentalement se définir comme la somme des individus qui la
composent. Il est impensable de constituer une société à partir d’un contrat
social. Les individus ne peuvent pas fonder les sociétés, ils en sont incapable
de part leur nature. Le pouvoir forme les individus, mais les individus ne forment pas le pouvoir.
J de Maistre
affirmait qu’il n’avait jamais vu d’homme ; il voulait dire par la que l’homme
en tant qu’entité abstraite, n’existe pas. L’homme appartient avant tout à la société. Nous
sommes face à la notion de primauté du collectif, face à la responsabilité individuelle,
à l’autonomie de choix de
l’individu » roseau pensant ».
Un individu
isolé n’est rien, puisqu’il est abstraitement séparé de l’autorité et des
traditions qui unissent la société.
Cette
position se retrouve dans d’autres philosophies politiques ;
je citerai les situations décrites par Robert Conquest «
la grande terreur » (ce livre relate les exécutions massives en URSS ; l’individu
n’est rien il doit se sacrifier «
au nom du parti » ; « de la classe ouvrière ».
L’Utopie Thomas More ; privilégie l’organisation collective d’une
société égalitaire.
La Providence
La
Providence est un concept important chez Joseph de Maistre. Ainsi la
Révolution, bien qu'elle semble être une initiative d'individus, est en fait, à
ses yeux, une manifestation de la Providence, qui ne cesse d'intervenir dans le
cours des affaires humaines (c'est également pour lui le cas des guerres). Cela
est pour lui visible dans le déroulement de la Révolution Française : le fait
même qu'elle dégénère prouve qu'une force supérieure était le moteur de cet
événement.
Pour Joseph
de Maistre, le corps politique étant constitué à l'image d'un organisme vivant,
il peut quelquefois être malade : cette maladie se révèle par l'affaiblissement
de l'autorité et de l'unité qui lient la société. Aussi, pour punir les hommes
et régénérer efficacement la société, la Providence les entraîne dans des
rébellions contre l'autorité, telles que la Révolution Française. Les Hommes,
se croyant maîtres de leur destin, se lancent en réalité dans l'exécution de
leur propre châtiment, devenant leurs propres bourreaux (ainsi Joseph de
Maistre analyse-t-il le régime de la Terreur comme une conséquence inhérente au
mouvement révolutionnaire). La révolution une fois passée, telle un remède,
l'organisme politique est débarrassé des éléments qui l'affaiblissent; le
pouvoir est plus fort, la société davantage unifiée. Le sacrifice des individus
est un mal nécessaire pour la sauvegarde du corps social, et Joseph de Maistre,
dans ses formulations les plus imagées, n'hésite pas à évoquer le sang que réclame
la terre pour rendre la justice, et qu'elle obtient par la guerre que se font
les Hommes.
Le rapport
entre l'individu et la Providence reste très paradoxal dans la pensée de Joseph
de Maistre : les hommes sont à la fois capables de bouleverser la société dans
laquelle ils vivent, et dépossédés de leur rôle actif par la Providence, qui en
fait fondamentalement des êtres passifs.
Si Joseph de Maistre s'en prend au régime républicain
et au protestantisme, c'est qu'il les
considère comme des productions individuelles. Le premier est un gouvernement
divisé, puisqu'il met les individus au pouvoir ; le protestantisme est, quant à
lui, une religion
négative (religion qui proteste et n'affirme rien de positif à ses yeux), qui dissout en refusant
l'autorité, l'insurrection de la volonté individuelle contre la raison
générale. L'individu est en effet un facteur qui divise, là où le pouvoir
et l'autorité unifient.
Toute
religion doit pour de Maistre être sociale ; or, le protestantisme n'étant pas
social à ses yeux, voire anti-souverain par nature, il n'est pas une
religion. C'est pourquoi de Maistre considère que toute religion, du moment
qu'elle sert à l'unité sociale, est susceptible de porter un gouvernement, et
d'être portée par ce dernier.
La religion
doit apporter des croyances communes, et apporter la cohésion de l'organisme
politique. Elle doit protéger le pouvoir autant que le pouvoir doit la
protéger. Il n'est donc pas question de séparer l'Église de l'État, bien au
contraire. C'est pourquoi Joseph de Maistre prônera un régime de type
théocratique, dans lequel la religion tient un rôle fortement structurant,
devant apprendre aux sujets le respect aveugle pour l'autorité et «
l'abnégation de tout raisonnement individuel ».
Pour Joseph
de Maistre, le pouvoir temporel doit se conformer aux voies de la Providence.
Un régime théocratique est alors pour lui le plus adapté, tandis que la
reconnaissance de l'autorité religieuse le pousse à reconnaître la suprématie
temporelle du pape.
dimanche 19 mai 2013
Emploi des jeunes
26,2 % des jeunes de moins de 25 ans sont au chômage , depuis plus de 30 ans des plans "jeunes" se succèdent , pour un résultat désastreux.
La création des missions locales en 1982 était une initiative novatrice , qui est devenu un fiasco technocratique.
La création des missions locales en 1982 était une initiative novatrice , qui est devenu un fiasco technocratique.
lundi 13 mai 2013
lundi 6 mai 2013
Racket
2,7 millions d’euros de PV à Clermont-Ferrand en 2012
Est ce bien raisonnable de prélever une telle somme sur le pouvoir d'achat ?
Combien coûte une telle collecte?
Est ce bien raisonnable de prélever une telle somme sur le pouvoir d'achat ?
Combien coûte une telle collecte?
dimanche 14 avril 2013
lundi 1 avril 2013
Economie Soviètique ???
Extrait la Montagne du 31/03/13.
le chiffre d'affaire cumulé des "Travaux publics "Auvergnats était de 810 millions en 2011.
Les travaux routiers 45% du total. La clientèle des entreprises "TP" relève pour 83% de la commande publique.
Les "TP" Auvergne c'est 400 entreprises ; 6500 emplois.
le chiffre d'affaire cumulé des "Travaux publics "Auvergnats était de 810 millions en 2011.
Les travaux routiers 45% du total. La clientèle des entreprises "TP" relève pour 83% de la commande publique.
Les "TP" Auvergne c'est 400 entreprises ; 6500 emplois.
jeudi 21 mars 2013
Destruction environnementale
massacrée par un girobroyeur ( tout es haché) ; est ce cela le développement durable???
Ce chantier résulte de l'intervention de la communauté de communes du Pays de Mauriac (15)
Fond de Jaude -Clermont - Ferrand
La construction grandiose sur le papier ; se révèle sans originalité et modeste ( pour un projet qui devait redonner du charme à la place centrale de Clermont-Ferrand).
samedi 23 février 2013
mardi 19 février 2013
Sécurisation de l'Emploi
Toujours plus de complexité
Sécurisation de l'emploi : l'avant-projet de loi inscrit le principe du compte personnel de formation dans le code du travail
« L'article L.6111-1 du code du travail est complété par un alinéa ainsi rédigé : 'Afin de favoriser son accès à la formation professionnelle tout au long de la vie, chaque personne dispose, indépendamment de son statut, dès son entrée sur le marché du travail, d'un compte personnel de formation, individuel et intégralement transférable en cas de changement ou de perte d'emploi'. » C'est ce que prévoit l'article 2 de l'avant-projet de loi « relatif à la sécurisation de l'emploi » transmis par le gouvernement au Conseil d'État et aux partenaires sociaux, lundi 11 février 2013. « Le principe de la création du compte personnel de formation est posé […] à la suite des grands objectifs du système de formation professionnelle », précise ainsi l'exposé des motifs du texte.
L'inscription du compte personnel de formation dans le code du travail est prévue par le texte « conformément [à] l'article 5 […] de l'accord national interprofessionnel » du 11 janvier 2013, précise l'exposé des motifs. L'ANI du 11 janvier 2013 « pour un nouveau modèle économique et social au service de la compétitivité des entreprises et de la sécurisation de l'emploi et des parcours professionnels des salariés » prévoit, en effet, l'instauration, dans les six mois après l'entrée en vigueur du texte, d'un « compte personnel de formation ». Ce « compte » est « universel », « individuel » et « intégralement transférable ». Il est crédité à raison de 20 heures par an pour les salariés, plafonné à 120 heures, mobilisable par les salariés sous réserve de l'accord de l'employeur et par les demandeurs d'emploi sous conditions. Quant à son financement, il « fait l'objet d'une concertation avec l'État et les régions », précise l'ANI (AEF n°177183 ).
DES MODALITÉS DE MISE EN OEUVRE QUI RESTENT À DÉFINIR
« La loi de transposition [de l'ANI du 11 janvier 2013 sur la sécurisation de l'emploi] portera le principe du compte individuel de formation » sans en préciser les modalités, car « il ne faut pas déposséder le CNFPTLV (Conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie) qui doit rendre ses conclusions sur le sujet fin mars. » « De plus, le compte individuel de formation est un beau sujet de concertation pour la deuxième conférence sociale annoncée pour l'été 2012 », a déclaré à l'AEF le ministre délégué à la Formation professionnelle et à l'Apprentissage, Thierry Repentin, interrogé sur les modalités choisies par le gouvernement pour mettre en oeuvre le compte individuel de formation, en marge d'une visite sur le « Salon de l'apprentissage et de l'alternance » de Paris, dimanche 27 janvier 2013 (AEF n°177927 ).
« Les concertations prévues par l'accord national interprofessionnel, associant les partenaires sociaux, les régions et l'État, ainsi que les travaux en cours au sein du Conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie, permettront d'en préciser rapidement les modalités de mise en oeuvre », précise pour sa part l'exposé des motifs de l'avant-projet de loi. L'ANI ajoutait en effet que la « mise en place [du compte personnel de formation] est conditionnée à un accord sur ses modalités de financement entre les partenaires sociaux, les régions et l'État, qui engageront une concertation sur ce sujet dans les plus brefs délais ».
CONCLUSIONS DU CNFPTLV LE 28 FÉVRIER
Dans un courrier daté du 25 juillet 2012, Thierry Repentin, ministre délégué à la Formation professionnelle et à l'Apprentissage avait demandé au CNFPTLV d'envisager les modalités de mise en oeuvre d'un compte individuel de formation (AEF n°171336 ), ce courrier a été transmis aux membres du Conseil jeudi 5 septembre dernier. Un rapport intermédiaire a été présenté le 18 décembre au Conseil (AEF n°176349 ) et le rapport final devrait être débattu le 28 février prochain lors de la séance plénière du CNFPTLV.
« Le groupe de travail est arrivé à une forme de consensus sur les principes généraux de ce compte », précise à l'AEF Françoise Amat, secrétaire générale du Conseil, qui précise qu'il faut voir « comment cela va s'articuler avec le compte personnel de formation [prévu par l'ANI du 11 janvier 2013] ».
L'inscription du compte personnel de formation dans le code du travail est prévue par le texte « conformément [à] l'article 5 […] de l'accord national interprofessionnel » du 11 janvier 2013, précise l'exposé des motifs. L'ANI du 11 janvier 2013 « pour un nouveau modèle économique et social au service de la compétitivité des entreprises et de la sécurisation de l'emploi et des parcours professionnels des salariés » prévoit, en effet, l'instauration, dans les six mois après l'entrée en vigueur du texte, d'un « compte personnel de formation ». Ce « compte » est « universel », « individuel » et « intégralement transférable ». Il est crédité à raison de 20 heures par an pour les salariés, plafonné à 120 heures, mobilisable par les salariés sous réserve de l'accord de l'employeur et par les demandeurs d'emploi sous conditions. Quant à son financement, il « fait l'objet d'une concertation avec l'État et les régions », précise l'ANI (AEF n°177183 ).
DES MODALITÉS DE MISE EN OEUVRE QUI RESTENT À DÉFINIR
« La loi de transposition [de l'ANI du 11 janvier 2013 sur la sécurisation de l'emploi] portera le principe du compte individuel de formation » sans en préciser les modalités, car « il ne faut pas déposséder le CNFPTLV (Conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie) qui doit rendre ses conclusions sur le sujet fin mars. » « De plus, le compte individuel de formation est un beau sujet de concertation pour la deuxième conférence sociale annoncée pour l'été 2012 », a déclaré à l'AEF le ministre délégué à la Formation professionnelle et à l'Apprentissage, Thierry Repentin, interrogé sur les modalités choisies par le gouvernement pour mettre en oeuvre le compte individuel de formation, en marge d'une visite sur le « Salon de l'apprentissage et de l'alternance » de Paris, dimanche 27 janvier 2013 (AEF n°177927 ).
« Les concertations prévues par l'accord national interprofessionnel, associant les partenaires sociaux, les régions et l'État, ainsi que les travaux en cours au sein du Conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie, permettront d'en préciser rapidement les modalités de mise en oeuvre », précise pour sa part l'exposé des motifs de l'avant-projet de loi. L'ANI ajoutait en effet que la « mise en place [du compte personnel de formation] est conditionnée à un accord sur ses modalités de financement entre les partenaires sociaux, les régions et l'État, qui engageront une concertation sur ce sujet dans les plus brefs délais ».
CONCLUSIONS DU CNFPTLV LE 28 FÉVRIER
Dans un courrier daté du 25 juillet 2012, Thierry Repentin, ministre délégué à la Formation professionnelle et à l'Apprentissage avait demandé au CNFPTLV d'envisager les modalités de mise en oeuvre d'un compte individuel de formation (AEF n°171336 ), ce courrier a été transmis aux membres du Conseil jeudi 5 septembre dernier. Un rapport intermédiaire a été présenté le 18 décembre au Conseil (AEF n°176349 ) et le rapport final devrait être débattu le 28 février prochain lors de la séance plénière du CNFPTLV.
« Le groupe de travail est arrivé à une forme de consensus sur les principes généraux de ce compte », précise à l'AEF Françoise Amat, secrétaire générale du Conseil, qui précise qu'il faut voir « comment cela va s'articuler avec le compte personnel de formation [prévu par l'ANI du 11 janvier 2013] ».
samedi 9 février 2013
dimanche 3 février 2013
Architecture Clermontoise
av Julien , le manque de lumière , l'éxiguité du lieu .......
Un revêtement gris (est ce pour rappeller la pierre de Volvic)
couvre le bâtment
Grand carré de Jaude
Les élus locaux doivent être lauréat d'un " concours international" d'architecture !!!
lundi 28 janvier 2013
Faillite ???
Michel Sapin ministre du travail déclare : "l'état est totalement en faillite"; François Fillon premier ministre a déclaré il y a quelques années " je suis à la tête d'un état en faillite.
Que fait on depuis 40 ans ( on creuse le trou avec des mesures démagogiques); malgré de bonnes intentions affichées, la dette enfle ( chaque jour) déficit de 3% cette année; on continue.
Dès qu'une mesure de réduction des dépenses publiques est prise ; il y a de multiples protestations (élus locaux , syndicats, lobby divers ....)
Que fait on depuis 40 ans ( on creuse le trou avec des mesures démagogiques); malgré de bonnes intentions affichées, la dette enfle ( chaque jour) déficit de 3% cette année; on continue.
Dès qu'une mesure de réduction des dépenses publiques est prise ; il y a de multiples protestations (élus locaux , syndicats, lobby divers ....)
samedi 26 janvier 2013
Compte personnel de formation
Dans le cadre de l'accord national paritaire interprofessionnel (ANI) signé le 11 Janvier 2013, par les partenaires sociaux; il question de la mise en place d'un "compte personnel de formation".
Celui çi fusionne le DIF et le CIF ( congé individuel de formation). Les heures acquises les sont définitivement . Les jeunes ( les missions locales pourront exercer pleinement leurs fonctions) pourront dès leur premier emploi s'attacher à le mettre en place.
Ci dessous texte de l'accord.
COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (Art. 5). Le projet d'ANI prévoit l'instauration, dans les six mois après l'entrée en vigueur du texte, d'un « compte personnel de formation ». Ce « compte » est « universel » (« toute personne dispose d'un compte personnel de formation dès son entrée sur le marché du travail et jusqu'à son départ à la retraite »), « individuel » (« chaque personne bénéficie d'un compte, qu'elle soit salarié ou demandeur d'emploi ») et « intégralement transférable » (« la personne garde le même compte tout au long de sa vie professionnelle et quel que soit son parcours professionnel »). Se substituant au DIF (droit individuel à la formation), ce compte personnel de formation est crédité à raison de 20 heures par an pour les salariés et est plafonné à 120 heures, soit selon les mêmes modalités que celles prévues pour le DIF. « Le compte est mobilisé par la personne lorsqu'elle accède à une formation à titre individuel, qu'elle soit salariée ou demandeur d'emploi. » Ce compte est mobilisable par les salariés en accord avec leur employeur, et par les demandeurs d'emploi, « dès lors que la formation visée correspond à une des priorités de formation définie conjointement par les partenaires sociaux et les pouvoirs publics, ou accéder au socle de compétences » défini par l'ANI du 7 janvier 2009 relatif à la formation professionnelle tout au long de la vie. De plus, « le financement du compte personnel de formation fait l'objet d'une concertation avec l'état et les régions » : « Sa mise en place est conditionnée à un accord sur ses modalités de financement entre les partenaires sociaux, les régions et l'état, qui engageront une concertation sur ce sujet dans les plus brefs délais. » Le compte peut être abondé par les pouvoirs publics pour les personnes entrant sur le marché du travail et sortant du système de formation initiale sans qualification. De leur côté, « les partenaires sociaux adapteront les dispositions conventionnelles interprofessionnelles en vigueur » impactées par ce nouveau dispositif .
Celui çi fusionne le DIF et le CIF ( congé individuel de formation). Les heures acquises les sont définitivement . Les jeunes ( les missions locales pourront exercer pleinement leurs fonctions) pourront dès leur premier emploi s'attacher à le mettre en place.
Ci dessous texte de l'accord.
COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (Art. 5). Le projet d'ANI prévoit l'instauration, dans les six mois après l'entrée en vigueur du texte, d'un « compte personnel de formation ». Ce « compte » est « universel » (« toute personne dispose d'un compte personnel de formation dès son entrée sur le marché du travail et jusqu'à son départ à la retraite »), « individuel » (« chaque personne bénéficie d'un compte, qu'elle soit salarié ou demandeur d'emploi ») et « intégralement transférable » (« la personne garde le même compte tout au long de sa vie professionnelle et quel que soit son parcours professionnel »). Se substituant au DIF (droit individuel à la formation), ce compte personnel de formation est crédité à raison de 20 heures par an pour les salariés et est plafonné à 120 heures, soit selon les mêmes modalités que celles prévues pour le DIF. « Le compte est mobilisé par la personne lorsqu'elle accède à une formation à titre individuel, qu'elle soit salariée ou demandeur d'emploi. » Ce compte est mobilisable par les salariés en accord avec leur employeur, et par les demandeurs d'emploi, « dès lors que la formation visée correspond à une des priorités de formation définie conjointement par les partenaires sociaux et les pouvoirs publics, ou accéder au socle de compétences » défini par l'ANI du 7 janvier 2009 relatif à la formation professionnelle tout au long de la vie. De plus, « le financement du compte personnel de formation fait l'objet d'une concertation avec l'état et les régions » : « Sa mise en place est conditionnée à un accord sur ses modalités de financement entre les partenaires sociaux, les régions et l'état, qui engageront une concertation sur ce sujet dans les plus brefs délais. » Le compte peut être abondé par les pouvoirs publics pour les personnes entrant sur le marché du travail et sortant du système de formation initiale sans qualification. De leur côté, « les partenaires sociaux adapteront les dispositions conventionnelles interprofessionnelles en vigueur » impactées par ce nouveau dispositif .
samedi 12 janvier 2013
mardi 1 janvier 2013
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